En fait, je ne crois pas que nous ayons de vraies solutions pour réduire la pollution de facon drastique et je reste assez pessimiste (c'est à dire d'un optimisme réaliste).
On écrit beaucoup, on gigote dans tous les sens, on palabre, mais rien de concret dans tout ça.
Je rejoint
Pierrex au sujet des éoliennes.
Combien de temps leur faudra t-il pour "rattraper" ce qu'elles auront pollué au cours de leur construction?
Combien de temps fonctionneront-elles avant qu'elles ne deviennent obsolètes et, qu'au nom du pognon comme toujours, on décidera de les changer pour, nous dira t-on, des modèles plus performants...
Quid des déchets radioactifs (pourtant, je suis pour) que les générations futures auront à traiter.
Au lieu de s'agiter pour rien et tourner en rond dans le domaine du déplacement "terrestre", prenons des mesures immédiatement rentables.
Comme la limitation de la vitesse à 110 km/h sur autoroutes, à 90 km/heures sur les 4 voies.
Pour ce qui concerne les navires, peut-être qu'en les ralentissant, on gagnera, la aussi, quelques millions de tonnes de CO2, parce qu'il ne sert à rien de se focaliser sur nos pauvres voitures (c'est vrai, il y en a beaucoup) sans agir fortement sur les transports aèrien et maritime.
Mais ne rêvons pas, la population mondiale ne cesse de progresser, et les besoins iront dans le même sens.
La solution, horrible bien entendu, inimaginable même, c'est la réduction de la population mondiale.
Par limitation des naissances, ce qui ne manquerait pas de provoquer un ras de marée économique telle que celui que nous vivons actuellement ne serait qu'une aimable plaisanterie.
La machine s'est emballée, va falloir y mettre les doigts pour la ralentir et on va assurément y laisser quelques phallanges...
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